Le système concentrationnaire
SCHIRMECK
A
quelques
kilomètres
du
Struthof,
un
autre
camp,
destiné
à
recevoir
les
Alsaciens
suspects
ou
accusés
de
résistance
et
d’opposition
au
national-socialisme,
est
ouvert
le
2
août
1940.
Il
porte
le
nom
de
«
Sicherunslager
Vorbrück-Schirmeck
»
et
fonctionnera
sans
interruption
jusqu’au
22
novembre
1944,
date
de
sa
libération.
Surtout
lieu
de
transit,
beaucoup
n’y
font
qu’un
cours
séjour
avant
leur
transfert
dans
d’autres
camps
ou
prisons.
Les
détenus
y
sont
contraints
au
travail.
Il
a
aussi
une
annexe
à
Haslach
qui
travaille
pour
Daimler-Benz
et,
durant
quatre
années,
c’est
par
milliers
que
les
Alsaciens
se
succéderont dans ce camp.
La déportation
Fédération Nationale des Déportés et Internés, Résistants et Patriotes